Pour rester sur la dynamique des hommes qui ouvrent leurs bouches pour ne pas dire grand-chose, j’ai pensé à cette réplique. J’imaginais deux garçons en terrasse face à une femme se délectant d’un café, toute seule. Leurs regards se croisent tour à tour et les hommes en déduisent chacun quelque chose.

Certes, le rapprochement phonétique n’est pas anodin mais, au-delà de ça, j’avais envie de mettre en avant deux manières d’aborder un même sujet. Je le rappelle pour ceux qui auraient encore des doutes, la femme est un sujet, elle n’est pas un objet, encore moins un complément d’objet ou une subordonnée.

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